© François Crignon

 

de LARS NORÉN

Spectacle créé en 2001 au Théâtre de Villepreux.
Joué au Théâtre de l'Opprimé (Paris), puis en tournée.

 

La fable : Le couple central, Anna/Harald est en villégiature. On s’y retrouve, chaque année, depuis l’enfance ; famille, voisins, amis d’enfance. Suite à deux décés, la donne est bousculée et les frustrations s’expriment au grand jour.
 
Le temps est notre demeure fait partie des "comédies de villégiature" ; inspiré de l’univers deTchéckov.

Avec le soutien de la DRAC Ile-de-France et du THÉCIF.

 

Texte : Lars Norén (Texte français : Anne Barlind)
Mise en scène : Richard Leteurtre
Dramaturgie et assistanat mise en scène : Hélène Boisbeau
Scénographie : Jean-Pierre Schneider
Costumes : Anne Barlind
Lumières : Olivier Nacfer.

Théâtre de Villepreux, de l’Opprimé, Le Prisme, l’ACT, Rambouillet.

"Tout est au cordeau, subtilement imbriqué, intensément pensé, en osmose. La mise en scène de Richard Leteurtre orchestrant d’une main de maître cette perdition, les excellents comédiens, la chorégraphie, les costumes, la musique. Du vertige à l’ivresse, les trois actes nous happent sans temps mort."
A nous Paris, Myriem Hajoui, avril 2001

"Anne Barlind prête sa formidable nature de comédienne. L’émotion charnelle et psychologique est au rendez-vous de cette pièce magistralement interprétée par une troupe enfiévrée qui pratique la polyphonie avec virtuosité. Envoûté, le public, médusé par tant d’excellence dans l’interprétation, applaudit, heureux, libéré. "
Chronic’art, Monique Charron, avril 2001

"Plus de trois heures de délectation au théâtre, cela existe ! (…) Richard Leteurtre, le metteur en scène, aidé par l’intéressante, abstraite et ingénieuse scénographie de Jean-Pierre Schneider prend le parti de nous faire pénétrer dans ce dédale de caractères, sans mode d’emploi."
Ciné Libre, Patrick Decome, avril 2001

"Trois heures et rien de superflu. Trois heures c’est le minimum pour entendre la parole des dix personnages. Le rythme ne s’essouffle pas. Nous non plus."
Urban Pass, Agnès Coudurier, avril 2001

"Les répliques fusent comme des balles traçantes, fracassant au passage la nostalgie des jours heureux ! (...) Ce feu d’artifices est un véritable régal ! (...) Magnifique interprétation !"
Théothéa, J.M.Couvet, avril 2001

"Norén est un auteur de génie. (…) Anne Barlind est formidable. Et tous les autres comédiens sont à l’unisson. C’est réconfortant ce genre d’aventure : on se dit que le théâtre, avec des gens comme ça, n’est pas prêt de mourir."
Le Figaroscope, Jean-Luc Jeener, avril 2001