© Rémi Vaucher


de F. GARCIA LORCA


Spectacle créé en 2007 au Théâtre de Villepreux puis en tournée.

Le texte de Federico Garcia Lorca a cette capacité universelle d’émouvoir, de questionner, de secouer, d’enrager le lecteur, le spectateur. Dans toute prison, carcan, enclos, l’être humain se révolte de mille manières différentes, contre l’injustice, le non-amour, la solitude, la loi du plus fort. Il pousse les limites jusqu’à l’absurde pour entrevoir un coin de ciel.
 
Le propos central de la pièce est le pouvoir, sa destitution et l’utilisation que l’on en fait... À partir de l’œuvre de Federico Garcia Lorca, ma recherche a consisté à en extraire tout ce que le mouvement et la danse peuvent exprimer de l’oppression des corps, de l’enfermement et de la frustration. Créer un langage de scène qui soit l’amalgame de la danse, du son, du théâtre, du texte, de l’espace scénique et de la lumière.

 

 

  • Conception : Anne Barlind assistée de Fabio Barad
  • Direction technique, création lumières, régie générale : Olivier Nacfer
  • Musique et bande son originale : Proton Burst
  • Réalisation costumes et accessoires : Madeleine Barbe
  • Construction du décor : Christian Bouyssoux
  • Comédiens : Corinne Barbara, Anne Barlind, Mitsou Doudeau, Ève Laudenback, Catherine Lenne, Pascale Paoli, Karl Paquemar, Hélène Phillipe, Ivana-Maria Sparti.

"Cette variation sur l’enfermement, la frustration, le carcan social et familial, ce huit clos oppressant au féminin, cette tragédie absurde, est d’une force et d’une humanité remarquables."
Apartés, automne 2007

"Le Thalia Théâtre (...) revisite ce "classique" avec une énergie rare - en y mêlant en continu un travail chorégraphique pour faire du spectacle une expérience originale de danse-théâtre."
Apartés, automne 2007

"C’est comme une résurrection pour Proton Burst (qui) remet à jour ces guitares dures qui sonnent en creux. Leurs saturations nourrissent un son rugueux dégradé vers l’industriel et optant pour une alternance entre lourdes pulsions rock et espaces atmosphériques psychotropes".
E. Hennequin

"Le groupe distille une musique industrielle, froide et oppressante qui colle parfaitement à l’ambiance claustrophobique de la pièce. Un groupe plus aventureux que jamais".
www.vs-webzine.com

"Les femmes s’entrecroisent et chacune devient ennemie de l’autre dans un lieu où seule la musique, virile et mécanique, semble servir d’homme. Efficace et original, avec une atmosphère digne de Druillet ou Caza".
www.gutsofdarkness.com

"Ce projet trouve son aboutissement sur scène"
www.obskure.com